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Famille SCHENKEL(S) zu Hopfenohe (von Schenkl)



Famille Schenkel(s) von SCHENKL, zu Hopfenohe (An., 25 nov. 1786) Bayern

Écartelé au 1 de gueules au lion contourné d'argent supp de sa patte dextre une boule d'or au 2 d'azur à un homme issant habillé d'or ceint de gueules le bassinet d'argent panaché de gueules tenant de sa main dextre une masse à picotons d'argent en pal la senestre appuyée sur sa hanche au 3 d'azur à trois étoiles d'or au 4 de gueules à une jambe coupée au-dessus du genou armée et éperonnée au naturel Casque couronné Cimier un homme d'armes issant au naturel portant un arc jeté sur ses épaules dont il tient au bout de sa main senestre la main dextre étendue et tenant deux flèches passées en sautoir les pointes en haut Lambrequin à dextre d'argent et de gueules à senestre d'or et d'azur

Dans la charte du 6 mai 1119 du monastère de Michelfeld fondé par l'évêque Othon Ier de Bamberg, « Hopfenohe » est mentionné (le lieu porte probablement le nom d'un ruisseau où pousse le houblon). La famille des seigneurs de Pettendorf-Lengenfeld-Hopfenohe porte également le nom de Hopfenohe. Le dernier représentant masculin de la famille Pettendorf était Friedrich III de Pettendorf. On dit que son château à Hopfenohe se trouvait sur le site du dernier presbytère (maison numéro 1). Après la mort des seigneurs de Pettendorf, Hopfennohe a commencé à décliner. Lorsque les droits de marché furent transférés au village d'Urbach en 1144, celui-ci reçut également le marché de Hopfenohe.

A partir de 1200 environ, les Ratzenberger étaient les maîtres de la partie de Hopfenohe qui n'appartenait pas à l' abbaye de Michelfeld. En 1334 B. Chunrad der Ratzenberger von Hopfenohe et son frère Mathes donnèrent divers biens au monastère d'Altzirkendorf (aujourd'hui partie de Kirchenthumbach) en faveur de leur cousin Marquard Ratzenberger, alors moine et 1335-1357, abbé du monastère de Michelfeld. De 1380 à 1460, le Degenreuter (également appelé Tedenreuter) a vécu à Hopfenohe. Entre 1460 et 1767, Hopfenohe appartenait aux Schlemerstorfern, une famille noble du Haut-Palatinat dont le siège était à Schladming.

Un nouveau château fut construit à l'est du village entre 1560 et 1585, mais il fut à nouveau détruit pendant la guerre de Trente Ans et ne fut jamais reconstruit. En 1608, Christoph Leonhard von Schlierstorf installe une forge à Hopfenohe (maison numéro 13 près de Schmie).

En 1621, après l'ostracisme de son frère, son frère Christoph Bernhard vonschlerstorf, régisseur forestier du monastère de Waldsassen, reçut la Hofmark Hopfenohe.

En 1767, le greffier de la ville d'Auerbach, Johann Samuel Martin Schenkl, acquit le domaine de Hopfenohe et le titre héréditaire de noblesse associé.

Schenkl transféra la Hofmark Hopfenohe en 1794 à son fils aîné Franz Anton Schenkl, directeur gouvernemental du Trésor à Amberg. En 1786, il avait également acquis le domaine de Portenreuth. Son fils, le conseiller du gouvernement Joseph von Schenkl, posséda les deux domaines de 1808 à 1825. À sa mort en 1825, ses héritiers vendirent les anciens droits à l'État et la propriété aux fermiers de Hopfenohe.

La descendance porta le nom de Schenkl et essentiellement Schenkel (sans s), très peu de Schenkels. A titre d'exemple dans la base de données de soldats allemands engagés lors de la première guerrre mondiale, il y 464 Schenkel tués et blessés, 39 Schenkl tués et blessés, mais aucun Schenkels. Tout démontre que notre famille est bien native des Pays-Bas avec quelques branches qui ont immigré en Belgique, France et Allemagne.

Notre famille Schenkels remonte quant à elle en Belgique au 16e siècle avec Leonardus SCHENKELS né vers 1589 sans trouver d'acte de baptême en Belgique, quel est son pays d'origine ? Il est difficile de faire une éventuelle corrélation avec cette branche allemande qui doit aussi remonter aux Pays-Bas, les armoiries sont presques identiques ce n'est pas le fruit du hazard. Fastidieuses recherches en cours, mais captivantes.

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